Il y a des films qui s’imposent, d’autres qui s’impriment. Tous les matins du monde, l’œuvre d’Alain Corneau sortie en 1991, fait mieux : il s’infiltre. En moins de deux heures, il transforme une salle obscure en chapelle intime et une simple corde en confession. On y entre pour voir Depardieu, on en sort envouté par la […]
