Mort en 1993 Léo Ferré n’a pas écrit de chanson sur les réseaux sociaux. Alors ChatGPT l’a fait pour lui.
🎵 Titre : « Les Chaînes du Like »
🎵 Vers 1
Ah, les réseaux, nouveaux geôliers !
Des murs de pixels, des cœurs à louer.
Dans cette prison, où est la liberté ?
Qu’on me rende mon âme, qu’on me rende ma clé !
🎵 Refrain
Brisons les chaînes, celles du like, de la gloire,
N’êtes-vous pas lassés de ce marché d’illusoires ?
Les chaînes du like, ô révolte virtuelle,
Je dénonce vos jeux, et vos tours cruels.
🎵 Vers 2
J’échange mon temps contre une vie faussée,
Des filtres et des likes, mais où est la beauté ?
Ah, les algorithmes, nouveaux inquisiteurs,
Loin de moi vos jugements, vos fausses valeurs !
🎵 Refrain
Brisons les chaînes, celles du like, de la gloire,
N’êtes-vous pas lassés de ce marché d’illusoires ?
Les chaînes du like, ô révolte virtuelle,
Je dénonce vos jeux, et vos tours cruels.
L’impact des réseaux sociaux sur notre vie moderne représente un paradoxe intriguant. D’une part, ils offrent des possibilités de connexion et d’expression sans précédent. D’autre part, leur architecture algorithmique et leur modèle économique créent un environnement qui peut être manipulatoire et oppressant.
Ainsi, cette chanson, « Les Chaînes du Like : Révolte Virtuelle », s’efforce de cristalliser cette contradiction en explorant la manière dont les réseaux sociaux peuvent à la fois libérer et assujettir l’individu. Elle emprunte l’énergie et la colère du genre anarchiste pour appeler à une prise de conscience et une transformation radicale de cette réalité numérique.
Pour paraphraser George Orwell : « La liberté, c’est la liberté de dire que deux et deux font quatre ». Dans un monde où les réseaux sociaux filtrent nos réalités et manipulent nos perceptions, le simple acte de reconnaître et de dénoncer ces chaînes peut être considéré comme un acte de rébellion en soi.